a loué l'apport significatif que représente le statut de l'auto-entrepreneur comme « accélérateur d'initiatives ». Il a cependant plaidé pour un meilleur encadrement de ce régime et appelé de ses voeux une réflexion approfondie sur les « professions libérales orphelines », c'est-à-dire non réglementées. Par ailleurs, il s'est déclaré favorable à la limitation dans le temps du dispositif, comme l'a proposé par M. Jean-François Roubaud, tout en souhaitant une durée modulée selon les situations : les auto-entrepreneurs à temps partiel devraient ainsi pouvoir continuer à exercer plus longtemps que les autres. En outre, le développement de l'accompagnement des auto-entrepreneurs apparaît nécessaire.