a souligné que, dans les pays d'origine des immigrants, il pouvait exister des traitements pour les affections dont ils souffraient, mais que le coût de ceux-ci ainsi que les difficultés d'accès aux équipements sanitaires pouvaient mettre les malades dans l'impossibilité de suivre effectivement leur traitement. Elle a demandé si le juge prenait en compte ces éléments lorsqu'il statuait.