Précisant qu'il participait lui-même à une start-up, M. François-Loïc Cosser a considéré que le financement des start-up est relativement satisfaisant en France pour ce qui concerne la phase d'amorçage des projets, qui se chiffrent en centaines de milliers d'euros. En revanche, la phase de développement des start-up, après six à douze mois, est souvent plus difficile à envisager, du fait de la frilosité des investisseurs et de l'industrie pharmaceutique, qui n'est prête à s'engager que lorsque le projet est déjà très avancé.