a demandé si des actions étaient en cours pour remédier au cloisonnement entre services de renseignement, notamment entre la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et la direction du renseignement militaire (DRM).
Le ministre a répondu que le dialogue entre les services était réel, mais qu'il méritait d'être renforcé, tout comme la mutualisation des moyens techniques, par exemple en matière d'écoute. Il a surtout souligné la nécessité d'instaurer au plan politique une instance décisionnelle chargée de donner des directives précises aux services et de coordonner leur action.