a regretté que les difficultés juridiques liées à la reconnaissance de la notion de « handicap social » aient empêché jusqu'ici de développer des outils plus performants pour répondre à des situations d'exclusion profonde et durable. Il a observé que les pouvoirs publics mettent systématiquement en avant les coûts liés aux efforts réalisés en faveur de l'insertion, mais jamais les économies qu'on peut en attendre à plus long terme. Il a invité le groupe de travail sur les minima sociaux à réfléchir à cette question.