a observé que le principal critère d'inscription en classes préparatoires étant la mention bien ou très bien au baccalauréat, il devait être aisé d'évaluer le nombre de jeunes concernés.
Il a ensuite relevé que la proposition de loi n'apportait pas de solution aux difficultés que rencontrent les élèves d'origine modeste, compte tenu notamment de leurs lacunes en culture générale. Les expérimentations en cours montrent qu'ils ont besoin d'un accompagnement spécifique.
s'est interrogé, en outre, sur les modalités de financement du soutien que nécessitent ces élèves, lequel concerne également leur accueil et leur hébergement.