Sur ces domaines, nous en sommes au prodrome de notre action.
La formation est l'une des missions essentielles de l'Institut français. Il faut trouver les personnes compétentes, négocier avec l'Éducation nationale, le Centre international d'études pédagogiques, les acteurs culturels. Nous allons mettre en place un protocole de formation, organiser un séminaire cet été ; nous y verrons plus clair dans quelques mois. En tant que doyen de l'inspection générale, j'ai vu les drames que pouvaient constituer le retour d'anciens attachés culturels se retrouvant professeurs de collège...
S'agissant de l'exportation des biens culturels, nous proposerons une lettre d'intention commune avec Ubifrance, qui est la structure compétente. Le sujet est complexe, et dépasse les compétences de l'Institut. Nous travaillons avec des opérateurs privés, des partenaires. Un comité des mécènes a été mis en place pour l'année du Mexique. Nous négocierons au quotidien des soutiens pour nos opérations.
J'ai répondu sur TV5 et RFI. Il faut que les turbulences se calment ; nous pourrons alors trouver un modus vivendi.