Observant que l'intervenante avait dû faire l'objet d'une certaine pression de la part du Gouvernement pour accepter d'être candidate à la présidence du HCB, M. Daniel Raoul l'a questionnée sur le degré d'indépendance de cet organisme. Lui demandant sa réaction en cas d'avis et recommandations divergents, voire opposés entre les deux comités, il l'a interrogée sur les relations étroites existant entre le CNRS et certaines entreprises, notamment dans le secteur des biotechnologies.