a émis l'hypothèse, partagée par de nombreuses personnalités scientifiques et médicales, que les rythmes sportifs, à l'exemple du rugby où les joueurs de l'hémisphère Nord sont plus sollicités en nombre de compétitions que ceux de l'hémisphère Sud, pouvaient avoir une action physiologique sur leurs performances. Il a considéré que les sportifs de haut niveau devraient pouvoir se confronter au même niveau de fatigue.
Il a souligné l'intérêt, pour le ministère de la jeunesse, des sports et de la vie associative, d'engager une réflexion sur le comportement sociologique et psychologique des supporters de football, compte tenu de la singularité de leur attitude.