a souligné que chaque rapporteur faisait valoir ses convictions ; il a précisé que si la commission des affaires culturelles donnait acte à chacun de son rapport, elle n'avait cependant jamais eu à prendre officiellement position sur ce sujet, le Parlement n'ayant pas été saisi d'un projet de loi autorisant la ratification de l'Accord de Londres.
Il a fait valoir, ensuite, que s'il était un farouche défenseur de la langue française, son emploi dans un certain nombre d'activités scientifiques - notamment dans des colloques internationaux - ne s'avérait toutefois plus adapté.