Déclarant partager ses propos, M. Gérard Bailly a questionné l'intervenant, s'agissant de la dette publique, sur l'opportunité d'une réforme structurelle globale. Craignant que la décentralisation ne s'accompagne pas d'une réduction concomitante des personnels déconcentrés de l'Etat, déplorant la faible productivité de l'administration par rapport au secteur privé et stigmatisant des réglementations et structures administratives pléthoriques, complexes et dépensières, il s'est interrogé sur la façon dont la LOLF pourrait y remédier.