a indiqué que l'existence d'un comité de pilotage et que la légitimation accrue de la MISS allaient dans le bon sens. Elle a relevé que la Cour des comptes n'avait pas demandé la fusion de l'ensemble des organismes concernés, aux effectifs relativement modestes, mais une meilleure coordination de leurs actions. S'agissant du financement, elle a estimé que les missions se rattachant au pilotage stratégique devaient être financées par l'Etat et prôné une plus grande clarté des rôles des différents acteurs. Elle a, enfin, jugé que les ministères sociaux étaient globalement sous-dotés et présentaient des besoins croissants.