a précisé que Tom Jefferson, qui dirige l'association Cochrane, disposait de tous les moyens pour obtenir, au travers des démarches habituelles, les données qu'il souhaitait, ayant été lui-même investigateur pour Roche. Il a préféré passer par les médias, ce qui n'a pu que rendre plus difficiles les échanges. Il est à noter que le British Medical Journal a publié, à la suite de son étude, une réponse de Roche.