a rappelé que le débat portait essentiellement sur l'avenir du droit d'auteur et des droits voisins dans l'univers numérique, et non sur le financement de la culture dans notre pays. A cet égard, il a estimé que la culture ne vivait pas seulement d'aides publiques, au demeurant utiles, mais aussi et surtout, des investissements réalisés par les producteurs.
Déclarant que la difficulté principale portait sur l'exploitation des oeuvres dans un monde marqué par d'importantes évolutions technologiques, il a souligné que les consommateurs n'étaient pas les premiers concernés par la réglementation relative au droit d'auteur.