a partagé l'avis du CSPLA et l'analyse juridique exposée par M. Pierre Sirinelli. Après avoir évoqué le test des trois étapes permettant de juger de la compatibilité de la solution prônée avec les traités internationaux, il a jugé paradoxal que le droit exclusif soit, pour la première fois, utilisé comme une arme massive destinée à interdire l'accès à des oeuvres, alors qu'il est normalement conçu pour autoriser celui-ci.