Un intervenant dans la salle, M. Jean-Marie Moreau, auteur, administrateur de la SACEM, a jugé qu'on ne pouvait accepter de brader, par le biais d'un forfait, les biens culturels qui ont tous vocation, demain, à être accessibles par Internet, car ceci pose le problème de l'avenir de la création et de la diversité culturelle. Il a rappelé que les auteurs-compositeurs vivent exclusivement de leur droit d'auteur. Il a déclaré ne pas être hostile à la copie privée ni aux logiciels libres, la première devant cependant rester l'exception et les seconds ne devant pas favoriser le piratage.