a indiqué que le secteur des musiques électroniques avait su maîtriser les pratiques issues des nouvelles technologies de communication, d'autant qu'il ne bénéficiait pas de l'accès aux modes de distribution traditionnelle.
Il a également critiqué le fonctionnement des sites de téléchargement payants, tout particulièrement en matière d'interopérabilité et de tarification. Il a interpellé le législateur sur une éventuelle tentation d'interdiction du réseau « peer to peer » qui serait rapidement remplacé par un nouveau réseau « Darknet » sécurisé et virtuellement invisible.