a regretté que son association n'ait pas obtenu de siège au Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique et que le présent projet de loi ait oublié de prendre en compte le logiciel libre qui permet pourtant d'assurer une certaine indépendance à ses utilisateurs vis-à-vis des éditeurs de logiciel souhaitant instaurer une traçabilité totale des contenus.