Puis M. Ivan Renar a fait part d'une préoccupation liée à la mise en oeuvre de la loi LRU : compte tenu de la diversité des universités, il a craint que les plus solides ne concentrent l'essentiel des financements. Par ailleurs, il a jugé nécessaire une évaluation réelle du crédit d'impôt recherche. Il a souhaité que les efforts en vue de favoriser l'embauche des docteurs par les entreprises soient encore renforcés. Enfin, il s'est déclaré perplexe quant à la proposition de la Commission Attali de recruter tous les nouveaux chercheurs sur des contrats de 4 ans.