a émis des réserves sur l'emploi excessif de la notion de flexi-sécurité qui est définie de façon très différente au sein de l'Union européenne. Il a rappelé que le versement des indemnités chômage pendant une durée limitée se justifiait par le risque d'une « désincitation » au travail. Il a également souligné le caractère protecteur des accords collectifs qui modèrent le lien de dépendance entre le salarié et son employeur.
Enfin il s'est dit favorable au versement des indemnités chômage, suite à une démission, lorsqu'elle s'inscrit dans le cadre légitime d'une séparation volontaire telle que l'a définie l'accord du 11 janvier 2008.