a considéré que la mission avait adopté la bonne démarche, en examinant d'abord non pas les relations entre les grandes écoles et l'université, mais la diversité sociale dans les classes préparatoires, sur laquelle elle fait des propositions concrètes. Il s'est réjoui que ce travail ouvre la voie à d'autres chantiers, la question de la diversité sociale ne se posant pas que dans les classes préparatoires. Il a souligné, par ailleurs, l'attractivité des filières sélectives en général (classes préparatoires mais aussi sections de technicien supérieur ou institut universitaires de technologie...) auprès des jeunes et des familles. Puis, s'il a reconnu que les nombreuses expériences en cours pourraient provoquer des effets pervers, il a jugé nécessaire de se laisser le temps de procéder à son évaluation avant de généraliser un dispositif. Enfin, il a indiqué que la Conférence des grandes écoles reconnaissait elle-même que les classes préparatoires pouvaient parfois « ankyloser la créativité » des étudiants, comme cela est mentionné dans le rapport.