a souligné que, lorsqu'une commune rassemblait la moitié de la population visée par le regroupement, il était justifié de lui donner un droit de veto sur la création ou l'extension de l'établissement public intercommunal, mais que, si l'intercommunalité visait à réunir des communes disposant d'un nombre d'habitants presque similaire, il n'était pas souhaitable de donner à celle qui était, à quelques unités près, la plus peuplée un tel droit de veto.