a exposé que l'article 8 de la proposition de loi prévoyait :
- le transfert du juge d'instance au greffier en chef du tribunal d'instance de la réception et de l'enregistrement des déclarations d'acquisition de la nationalité française hors mariage ;
- et, à l'initiative de la commission, le transfert du juge d'instance aux préfectures de la réception des déclarations d'acquisition de la nationalité française à raison du mariage.
Il a estimé que ces deux mesures contribueraient à simplifier et accélérer les démarches administratives des personnes qui souhaitent acquérir la nationalité française, sans porter aucunement atteinte à leurs droits et qu'il n'y avait donc pas lieu de les remettre en cause.