Je souhaite soumettre à votre analyse toute une série de questions. Est-il conforme à l'éthique que la dignité de la personne pose des limites à l'autonomie de la volonté et que l'on puisse donc interdire à quelqu'un de mener une action qu'elle a librement décidé et dont elle assume les conséquences ?
Pouvons-nous nous passer des recherches sur les cellules souches embryonnaires ? Est-ce possible à court ou à moyen terme, est-ce souhaitable ?
Comment garantir la liberté de consentement aux dons pour les donneurs vivants ?
L'anonymat du don doit-il être systématiquement préservé ?
Quel encadrement vous paraît-il nécessaire pour les tests génétiques ?