a ensuite interrogé M. Jean-Luc Darlix sur :
- ses intentions, en matière d'information et de dialogue du Haut conseil des biotechnologies avec la société ;
- la possibilité, pour le Haut conseil, de réagir officiellement à certains articles publiés dans la presse grand public afin de bien préciser que les informations diffusées sont beaucoup moins rigoureuses que celles des revues scientifiques à comité de lecture ;
- sa position quant à la mise en place éventuelle de méthodes d'évaluation des risques plus rigoureuses que celles des instances européennes ;
- la façon dont il envisageait de traiter le cas du maïs transgénique Monsanto 810 pour lequel la France a mis en oeuvre la clause de sauvegarde alors que 23 études et deux avis officiels -de l'agence française de sécurité sanitaire des aliments et l'agence européenne de sécurité des aliments- concluant à son innocuité ont déjà été rendus.