a indiqué qu'il y avait eu initialement des différences d'attitude entre les banques, mais qu'aujourd'hui la proportion des cas résolus favorablement est la même dans tous les réseaux bancaires. Il a pu y avoir aussi, au sein d'un même réseau, des attitudes différentes au niveau des équipes locales. Pour y remédier, il a été demandé aux banques de ne pas autoriser les équipes locales à prendre des décisions de refus et de faire « remonter » les dossiers concernés. A ce propos, M. René Ricol a observé que l'on pouvait se féliciter d'un taux de clôture positive de 62 % des dossiers de médiation, mais que le vrai succès aurait été qu'aucun de ces dossiers n'ait été soumis à la médiation : en effet, s'il était possible qu'ils soient acceptés, il aurait mieux valu qu'ils le soient tout de suite.