a indiqué que les Guadeloupéens avaient le sentiment de vivre dans une île où tout se faisait et se décidait sans eux, estimant que la question institutionnelle illustrait d'abord une révolte contre l'administration préfectorale.
Elle a dénoncé l'inadéquation et le cloisonnement total entre l'administration de l'Etat et la population guadeloupéenne.