a rappelé qu'en Guyane le département percevait une part de l'octroi de mer : destinée à résorber, à un moment donné, les difficultés financières du conseil général, cette part ne revient de ce fait plus aux communes, ce qui constitue une perte importante pour ces dernières. Il a par ailleurs estimé que le recensement des bases fiscales relevait d'abord de la responsabilité de l'Etat avant de soulever la question de la fiscalisation des activités spatiales de Kourou et du foncier appartenant à l'Etat, très important en Guyane. Il a enfin critiqué le plafonnement de la part superficiaire de la DGF qui constitue une perte importante de ressources pour les communes guyanaises.