a noté que le financement communautaire s'ajoutait aux interventions de l'Etat et des collectivités territoriales. Face aux risques inhérents à leur activité, a-t-il relevé, les agriculteurs se tournent vers les pouvoirs publics. Refusant d'opposer de manière manichéenne l'agriculture managériale, qui peut gérer ses risques, et une catégorie d'exploitations plus fragile, il a estimé que les agriculteurs s'assurant étaient toujours gagnants. Il s'est interrogé sur la nécessité d'une subvention, d'autres assurances telles que celles couvrant les véhicules ne bénéficiant pas d'une aide publique. Il a évoqué la possibilité que l'assurance soit obligatoire dans certaines filières seulement, notamment celles dont l'existence même est menacée par des crises sanitaires.