a alors interrogé la Dhos sur les critiques exprimées par la FHF et la Fehap relatives, d'une part, au manque de transparence et à l'absence de communication en amont, d'autre part, à la manière dont les ARH surveillent les permanences de soins dans les établissements et l'éventuelle déconnection entre les sommes versées à ce titre et les astreintes réellement effectuées.