Les jeunes médecins sont de moins en moins nombreux à choisir la médecine du travail ; la rupture culturelle est évidente et une stratégie de valorisation de la médecine du travail s'impose pour préserver ce champ de la santé publique. Il est sans doute possible de rendre la profession plus attrayante : modifions, par exemple, le contenu de certains modules d'enseignement. Un rapport qui débouche sur des propositions est nécessaire. Les chefs d'entreprise comme les syndicalistes ont intérêt à avoir des médecins du travail - et des médecins motivés !