a ajouté que les négociations avec les organisations syndicales de salariés n'avaient pas encore été engagées, mais qu'elles le seraient très probablement à la rentrée, à l'issue de la réflexion en cours sur la tarification, l'indemnisation et la façon d'améliorer la politique de prévention.
Le Dr Pierre Thillaud a fait observer que la délégation patronale ne disposait que de trois voix sur vingt et une au conseil d'administration du FIVA et a regretté que les pouvoirs publics portent trop souvent plus d'attention aux interventions des associations de victimes qu'à celles des organisations syndicales, de salariés comme d'employeurs. Notant que la santé au travail et la prévention des risques professionnels allaient relever de la compétence de l'Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE), il s'est inquiété de la reproduction de cette répartition des voix au conseil d'administration de cette agence.