a réaffirmé son souhait de la mise en oeuvre de politiques fortes et volontaristes pour favoriser la mixité sociale et rénover les communes situées à la périphérie des villes.
Au sujet de l'emploi, il s'est inquiété des effets d'aubaine que peuvent entraîner les politiques mises en oeuvre et a regretté que le contrat première embauche (CPE) ait été inséré dans le projet de loi relatif à l'égalité des chances et en affaiblisse, de ce fait, la cohérence. Il serait en outre préférable d'évaluer l'efficacité des premières mesures prises, notamment le contrat nouvelles embauches, afin d'améliorer le cas échéant les dispositifs existants. Il a exprimé sa préférence pour un CPE sur cinq ans, avec une souplesse de licenciement compensée par l'ouverture d'un droit à la formation pendant les périodes de rupture du contrat, ainsi que le droit à une indemnité de chômage financée par l'entreprise.