a indiqué que les anciens salariés de l'usine bénéficiaient d'un suivi post-professionnel au titre de leur exposition passée au plomb, et que la législation ne les rendait pas éligibles à l'ACAATA. Il a fait part de leur revendication consistant à obtenir l'ACAATA à titre dérogatoire au titre de leur exposition simultanée au plomb et à l'amiante, estimant que la pénibilité au travail constituait un critère inapproprié dans ce cas. Il a rappelé que l'ancien médecin du travail avait estimé à 500 le nombre d'intérimaires ayant travaillé dans l'usine et à 6.500 celui des sous-traitants, dont 350 se trouvaient en permanence sur le site.