Observant que le logement se situait au coeur de nombreuses politiques sociales, M. Benoît Huré a jugé préférable de prévoir des contrats entre départements et Etat et a indiqué que son conseil général était très engagé dans les opérations financées par l'ANRU, à de strictes conditions relatives au niveau des loyers de sortie et des charges locatives ainsi qu'à la qualité environnementale des bâtiments construits. Relevant que la politique du logement devait aussi concerner les zones rurales, il a noté que le coût du foncier n'était pas le même partout et a observé que de nombreux espaces constructibles existaient en milieu rural. S'agissant du choix à effectuer entre réhabilitation et démolition, il a souligné que seule la démolition permettait d'introduire les normes de qualité environnementale. Insistant enfin sur l'importance du rôle des associations dans le maintien du lien social, il a souhaité que celles-ci adoptent des horaires d'ouverture adaptés aux besoins du public et a relevé que les CUCS pouvaient utilement contribuer à leur financement.