s'est félicité de ce que ces relations aient été « normalisées » grâce, notamment, à la possibilité laissée à chaque détenteur de choisir son prestataire. A M. Jean Arthuis, président, qui souhaitait savoir si cette possibilité s'était traduite par une baisse de la « part de marché » des Haras nationaux dans l'identification, il a indiqué que l'augmentation du nombre d'actes obligatoires, tels que la pose de transpondeurs, n'avait pas permis une telle baisse.