a indiqué qu'il était délicat, par construction, de mesurer la proportion de chevaux échappant à l'identification. Il a toutefois fait valoir que les Haras nationaux travaillaient à un indicateur de suivi du nombre de chevaux d'origine non constatée de plus d'un an, indicateur qui avait vocation à tendre vers zéro. Il a, par ailleurs, insisté sur la nécessité de combiner de larges campagnes d'information des détenteurs avec des contrôles renforcés des directions départementales des services vétérinaires.