a précisé que la création d'une base de données recensant les détenteurs d'équidés était à l'étude. Rappelant que l'existence de maladies non réglementées, pour lesquelles l'Etat n'avait pas vocation à intervenir, rendait difficile une couverture sanitaire exhaustive, il a cependant indiqué que des partenariats avec les professionnels avaient vocation à être développés.