a jugé que les Haras nationaux n'étaient effectivement plus la « puissance tutélaire » d'autrefois et ne pouvaient se dispenser de nouer des partenariats tant avec le secteur privé qu'avec les collectivités territoriales. Il a invité l'établissement à clarifier sans tarder le périmètre de ses missions de service public et à remédier aux rigidités de gestion persistantes, en particulier en matière de détachement de personnels auprès des collectivités. Il a également rappelé que lesdites collectivités territoriales étaient souvent disposées à gérer le patrimoine utilisé par les Haras.