a rappelé que la loi régit déjà la relation patient-médecin et prévoit une règle de codécision. L'intervention d'un tiers doit donc faire l'objet d'un encadrement législatif. Les composantes des programmes d'accompagnement doivent être identifiées : apprentissage, aide dans la durée, assistance au respect des préconisations du protocole thérapeutique. Toutes ces démarches doivent être organisées, autorisées et contrôlées par les autorités publiques.
Les intervenants doivent respecter la relation médecin-patient et le suivi thérapeutique du malade doit demeurer du ressort du médecin. Les règles financières et déontologiques doivent être connues.