a estimé que les programmes d'observance ne peuvent être élaborés que dans l'intérêt des malades. Une étude récente réalisée par un grand cabinet d'audit nord américain a considéré que les programmes d'observance peuvent être mis à profit par les entreprises pharmaceutiques pour fidéliser leur clientèle.
Il a estimé que les programmes d'observance ne doivent être autorisés que pour les médicaments qui disposent d'une amélioration de service médical rendu (ASMR) élevée.
Il a noté le paradoxe existant entre la volonté exprimée par les pouvoirs publics de limiter la consommation des médicaments et la multiplication des programmes d'observance, qui ont précisément l'effet inverse.