a indiqué que les plaintes déposées au pénal en 1997 étaient toujours en cours d'instruction, en dépit de la rédaction de plusieurs rapports d'expertise.
Soulignant la lenteur inacceptable des procédures, M. Pierre Fauchon s'est demandé si celle-ci n'était pas imputable au fonctionnement de la justice plutôt qu'au législateur, s'agissant des blocages du dossier pénal dans le cas de l'amiante.