a estimé que le FIVA pourrait récupérer des sommes beaucoup plus importantes s'il y consacrait suffisamment de moyens en personnels et s'il travaillait en plus étroite collaboration avec les victimes, afin qu'elles apportent à l'instance les nécessaires éléments de preuve. En réponse à M. Bernard Frimat, il a indiqué que la condamnation de deux entreprises dans l'année permettait de financer la rémunération d'un juriste.