a relevé la pertinence de l'analyse de la situation stratégique effectuée par le Livre blanc, tout en observant que la partie consacrée aux moyens de notre politique ne semblait pas en tirer toutes les conséquences. Il a considéré que la question des attaques informatiques mériterait d'être mieux prise en compte. Enfin, il s'est interrogé sur les conséquences d'un éventuel report du lancement d'un second porte-avions, dans la mesure où la France se trouverait privée d'une force aéronavale permanente et verrait ses capacités d'action handicapées, notamment en Méditerranée à un moment où est relancée la coopération entre les deux rives au travers de l'Union pour la Méditerranée.