a considéré que, comme l'illustraient les actions conduites par la ville de Paris en matière d'enseignement de la musique et du dessin, les interventions culturelles et artistiques dans l'enseignement primaire étaient généralement financées et assurées par les communes. Il a souligné que ces activités étaient souvent très coûteuses particulièrement quand, se déroulant en dehors de l'école, elles devaient intégrer les frais de transport et d'assurance. Il a estimé que cette situation posait un véritable problème pour les collectivités territoriales qui doivent en outre assurer le financement des conservatoires.