Je reste frappé par l'imagination technocratique, avec un système de perception intéressant qui associe une administration publique et un prestataire. Mais son coût me paraît très excessif, et je me demande donc comment on envisage sa réduction progressive.
On a évoqué les 200 000 poids lourds qui seront redevables de la taxe en France, mais combien d'entreprises françaises travaillent aujourd'hui dans les autres pays européens ? Autrement dit, y a-t-il aujourd'hui un équilibre entre le transit en France et l'activité française à l'étranger ?