a indiqué que les auditions de la mission auxquelles il avait participé avaient clairement mis en lumière les difficultés que l'Etat éprouvait à tenir les objectifs qu'il prétend se donner. Compte tenu de l'insuffisance des ressources budgétaires, il s'est demandé s'il ne convenait pas d'encourager les financements privés, en étendant, par exemple, aux travaux réalisés sur le patrimoine non protégé, les dispositifs fiscaux qui ne bénéficient actuellement qu'aux monuments classés ou inscrits.