a estimé que l'accélération des mesures d'expulsion de Comoriens depuis le territoire de Mayotte risquait de contribuer à porter au pouvoir, lors des prochaines élections comoriennes, un candidat islamiste dont l'élection pourrait compromettre la coopération avec la France. Considérant que le droit d'asile était de plus en plus restreint, il a appelé de ses voeux un débat sur la politique d'immigration dans lequel interviendrait le ministère des affaires étrangères.