a observé que la Russie entendait préserver sa mainmise sur l'espace qu'elle a perdu en Asie centrale et dans le Caucase. Evoquant ensuite les élections palestiniennes, elle a considéré que la position française devait, certes, être ferme, mais aussi faire preuve de subtilité et de diplomatie, sans négliger le fait que ce processus électoral s'était déroulé dans un pays occupé. Elle a estimé que nul n'avait souhaité la victoire du Hamas, liée à la sanction par les électeurs palestiniens du bilan du Fatah, mais a rappelé que le texte de campagne de ce mouvement ne faisait plus mention de la destruction d'Israël, à la différence de sa charte fondatrice, et évoquait, à défaut de désarmement, une trêve.