a d'abord précisé que si la dette devait baisser relativement au PIB, elle devait encore augmenter en valeur absolue. Il s'est étonné que la France n'engage pas de politique budgétaire à l'image de celles qui avaient été menées en Belgique, en Nouvelle-Zélande et au Canada, aujourd'hui parvenus à l'équilibre de leurs finances publiques. Il a souhaité, par ailleurs, que les nouvelles dépenses fiscales fassent l'objet d'une appréciation préalable de la commission des finances, puis il s'est inquiété de ce que la relance de la consommation n'accroisse le déficit commercial. Enfin, il a regretté que l'effort ne portât pas davantage sur l'investissement.